C'était toi qui faisait ce bruit ? NON ?! [PV Axer]

TIIIDDDIIIIIDDDDD. TTTTTIIIIIDDDDIIIIIDDDDDD. Une main sort d'une couverture et va ce poser sur le réveil. Enfin, une tête émerge de la couverture. Piko se secoue la tête dans tout les sens, ce lève. Dans le dortoir, il n'y a plus personne. Aujourd'hui, elle avait cours de maths, de technologie et d'informatique, mais les profs avaient décidé qu'elle n'avait plus besoin d'aller dans à ces trois cours, surpassant même les profs. Elle s'habilla en vitesse et descendit les escaliers menant à la salle de détente. Elle y prit un rapide petit déjeuner, puis sortir en errant dans les couloirs. Elle atteignit une partie plus ancienne du pensionnat. Certaines classes avait été abandonnées en pleines activitées. Dans l'une d'elle, des pots de peintures avaient été ouverts et des dessins a moitiés fini couvrets quelques toiles. Soudain, elle entendit un bruit de course et de rire derrière elle. Yao se retourna mais le couloir était desert. Elle utilisa son pouvoir, et quelques secondes plus tard, elle était accompagné par Japon, Allemagne et Italie (Personnages du manga Hetalia Axis Power). Plus ils avançaient, plus l'impression d'être observé ce faisait sentir. Soudain, le blond tourna la tête, puis disparu dans l'embranchement d'une porte.

-Allemagne, où va tu ?

Il en sorti en tenant un élève par le colbac

-Je trouvé ça.

-Merci Ludwig

Dit-elle avant de se tourner vers le nouveau venu.

-Qui est tu ?

Spoiler:

Invité

Pour réponses à ses pas ingambes, l'explorateur des ruines ne percevait que l'infime déambulation des rongeurs, l'écoulement séquentiel des minutes et l'hurlement récurrent de leur déliquescence. Pierres fendues et morceaux de vitrail constellaient les couloirs de l'épave, saupoudrant les succursales d'une scénographie mortuaire et, romancés d'araignées, armoires et tableaux gémissaient une terreur alambiquée. Ce décor funèbre avait eu don de capter l'attention du jeune rebelle, celui-là-même œuvrant présentement, et ce depuis plusieurs heures, au nœud des décombres. Ses pieds nus palpant le sol griffonnaient signatures à l'embranchement des alcôves, et ses cambrures fantomatiques le laissaient sourdre dans la pâleur du jour.

"Ici, tout est désolation, affliction, amertume. Tout est blanc et pourtant, au milieu de cet endroit apocalyptique s'élève le chant du passé. Il s'agissait d'un environnement agréable, naguère, j'en suis convaincu." Séide, l'Herslave fit l'esquisse d'un sourire tout en déblayant une partie risible du domaine. Ses mains filiformes s'arrêtèrent sur une photographie balayée par les catastrophes, et l'on agrippa d'emblée le col de ses haillons, l'entraînant vers le plafond. Enfin, c'est ce qu'il crut séance tenante en se faisant soulever comme l'on cueille une tulipe, son imprudence inhabituelle l'ayant trahi. Sa cape braconna la terre, formant une couche brumeuse en sa débâcle.

"He-Hey! Lâchez-moi! unha nu nakisupana?inu?!" Primesautier, ses fripes prosaïques suppliciées par parois et parapets, l'élu de Kai suspendu aux serres d'un uniforme de teinte grisâtre jappait l'affranchissement, rugissant d'un cri sourd. Matois, il se refusait néanmoins à riposter, n'étant sûr des conditions et raisons de sa capture. S'il subsisté bel et bien un geste à ne pas perpétrer, cette créature rustaude n'en détenait conscience, et c'est lorsque notre adolescent inventoria ses agresseurs qu'un accent sardonique lui rudoya museau. Une horde singulière aux prosélytes insolites. Voici d'inaccoutumés adversaires. Sondant ce quatuor avec irrévérence, l'adonis leur distingua une inexplicable excentricité. Trois des quatre hommes n'étaient pas fait de chair et de sang. Mysticisme ?

- Qui es-tu ? À cette formulation, l'intéressé se renfrogna davantage, éhonté, les lunettes nichées sur ses épis goguenards coulissant contre sa frange. L'individu posté au-devant du groupe soutenait probablement le rang de porte-drapeau.

"Ces trois hommes ne sont pas réels. Comment fais-tu pour invoquer les esprits ? Serais-tu chaman de ta tribu ?" Rétorqua incessamment feu chasseur des comanches, noyant son regard en celui de son interlocutrice, amalgame bilieux et patibulaire prévalant sur l'aménité aphone de ces pupilles rectilignes aux lavis garances; méconnaissant les indénombrables prédispositions chimériques des bipèdes outre sa propre aptitude. D'après lui, seuls les Anciens avaient luxe de recourir aux défunts et irrémédiablement, cette demoiselle baroque que monsieur prenait pour un jouvenceau venait d'harponner à vif la curiosité abrupte du guerrier amérindien.

"Tu peux m'appeler Axer." Fusilla-t-il ensuite lors d'une parole astreignante, sa frimousse halée ne déployant néanmoins qu'un arôme ouaté et taciturne. Au-dessus de sa redingote, les interstices de la structure répudiée vomissaient silencieusement les restes d'une pluie avilie par la poussière et les rosseries des époques. Suant contre sa joue, ces jaspes hyalins atermoyaient, humidifiant le faciès du prisonnier altier. "Libérez-moi, maintenant. Je n'aime pas cette position."

[J'ai mis une image des trois personnages de Hetalia Axis Power sous mon premier post pour que tu puise voir à quoi il ressemble]

Piko fut surprise. Un shaman ? Des êtres non-réel ? Elle ne demanda pas à Allemagne de le lacher, pas tout de suite en tout cas.

-Sache Axer,que je ne suis pas un shaman et que les hommes que tu peut voir son des êtres réels et bien vivants. Je les est juste fait venir de leur monde.

Elle soupira et hocha la tête pour autoriser Ludwig à lacher Axer. L'allemand hocha à son tour la tête, lacha l'élève et retourna auprès de Yao.

-Je m'appelle Yao, mais tu peut m'appeller Piko. Et voici Allemagne ...

Elle montra le blond au yeux bleu.

-... Japon...

Elle montra l'asiatique au cheveux noir et court.

- ... Et Italie.

Elle montra le type à l'air pas très fut-fut au cheveux et au yeux brun.

Invité

Merci Piko. ;3

Ce trio de quidams n'était donc pas l'intelligible personnification d'âmes nomades, mais une harde authentique aux historiettes et unicité véridiques. Pantois, la victime du chapardage troqua sa mine interdite pour un heaume dubitatif, corrodant ses pairs d'une œillade véhémente. "Inviter ces gens à pénétrer notre monde n'est-il pas la même chose qu'invoquer les esprits ?" Mâchonna notre blanc-bec de manière suspicieuse, les gouttes monocordes des crevasses embrassant son menton humide.

-Je m'appelle Yao, mais tu peux m'appeler Piko. Et voici Allemagne, Japon et Italie.

Dérobant son échine des bras antagoniques, l'éphèbe entama chacun de ces personnages, croquant leurs ossatures de ses yeux vermillon. De quel univers étaient-ils fils ? Flairant les fragrances de ces bonshommes proverbiaux, il enchaîna en portant un intérêt débonnaire à leur supérieur, le dénommé Yao, tandis qu'un revers de bras éventrait le fleuve aqueux chavirant aux lisières de ses lèvres.

"Tu es un garçon peu commun, Yao. Je ne savais pas qu'il était possible d'escorter chez nous les habitants d'un…Autre monde." Cette connotation le fit partiellement frissonner. Pas qu'un mot ne lui évoque effroi, néanmoins, il n'avait jamais envisagé qu'un Homme userait de telles paroles sans desseins effleurant décès. Présentant aussitôt un rictus plus complaisant, le jeunot s'avança faiblement, ses ternes soieries giflant l'éther. "Que fais-tu ici en compagnie de tes alliés ? Tu ne ressembles pourtant pas à quelqu'un ayant la mauvaise habitude de sécher les cours."

Piko sourit devant l'érreur que venait de faire Axer.

-Je ne sèche pas les cours mon ami, mais je surpasse les professeurs de certaines matières, qui me donnent temps libre.

Yao appuya sur le bouton bleu de son Ordinateur Holographique Tactile, un appareil de son invention. Un écran "vert ordi" apparut. Il rétrécit jusqu'a ne faire qu'un écran de la taille de l'oeil de Yao, et se mit devant.

- Axer, élève médiocre pour ne pas dire mauvais, du groupe des Dragons et avec des origines Amérindienne.

Elle hossa un sourcil.

-J'ai raison n'est ce pas.

Piko appuya de nouveau sur le bouton turquoise et l'écran disparu dans un "До свидания"
Aussitôt, Italie tira sur la manche d'Allemagne en demandant des Pastas. L'allemand soupira et le repoussa gentiment, mais fermement. Japon lui, ne broncha pas. Il était habitué à cette scène. Il poussa juste un soupir en voyant la tête de chien battu que faisait Italie quans il n'avait pas de pasta.

[Si tu connaisait le manga Hetalia Axis Power, tu saurais que Italie adore les PASTAS.]

Up please

» C'est avec le vent que vient une vie nouvelle... [pv Axer]

C'était toi qui faisait ce bruit ? NON ?! [PV Axer]

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